C’est à l’issue de ces tests que la production à grande échelle peut être lancée ou non. Si les tests révèlent des imperfections, il faut apporter des corrections au produit et les recommencer.
Nicolas aime les revues scientifiques, le vélo et son métier… Technicien d’essai confort thermique. Il a 34 ans et travaille au Groupe Atlantic. Il prépare et réalise des essais en conditions réelles sur les chauffe-eaux, les radiateurs, ou les climatiseurs que son entreprise fabrique. L’objectif est d’en faire des produits qui respectent les réglementations et de trouver l’équilibre entre confort, économie et consommation d’énergie.
Nicolas a un DUT, mais on devient aussi technicien d’essai en confort thermique grâce à l’alternance. On en recrute 1 700 par an pour en moyenne 1 900 euros brut par mois en début de carrière.
Pour exercer ce métier, il faut être minutieux, rigoureux et savoir s’adapter pour faire face aux imprévus et aux demandes des clients : du confort et moins de dépense d’énergie.
Le technicien d’essai doit être force de proposition pour l’amélioration continue de ses moyens et méthodes de travail auprès de sa hiérarchie.
Il est en relation avec le bureau d'études et la fabrication, et travaille également avec l’ingénieur d’essai, pour cela il doit avoir le goût du contact et le sens de l’initiative.
Cette vidéo a été réalisée grâce à la participation de la Fédération des Industries Electriques, Electroniques et de Communication, du Medef Centre et du Medef Loiret
Parcours de formation
- BTS Electrotechnique
- BTS assistance technique d'ingénieur
- BTS industrialisation des produits mécaniques
- Licence pro Mécanique option mesures et essais en acoustique et vibrations
- Licence pro Gestion de la production industrielle, spécialité procédés en contrôle non-destructif
- Licence pro Maintenance des systèmes pluritechniques, spécialité expertise, mesures, environnement
- Licence pro Maintenance des systèmes pluritechniques, spécialité instrumentation et tests en environnement complexe